Alerte de l'OMS : la viande transformée est cancérigène, nouveau coup dur pour l'industrie

Publié le par Notre Terre

Alerte de l'OMS : la viande transformée est cancérigène, nouveau coup dur pour l'industrie

 

 

L’information risque de faire trembler tout un pan de l’industrie agroalimentaire. Les viandes transformées rejoindront prochainement la liste des produits cancérogènes éditée par l’OMS sur le même plan que l’arsenic, l’amiante ou la cigarette.

 

L’information révélée par le Dailymail risque de faire pas mal de vagues parmi les pontes de l’industrie agroalimentaire. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), via le Centre International de Recherche sur le Cancer s’apprête à revoir ses classifications en matière de viande et son impact sur la santé. Principalement pointées du doigt, les viandes transformées qui constituent hamburgers, saucisses et autres « presque viandes » industrielles. 150 000 personnes décèderaient chaque année de maladies liées à la consommation de ces viandes, uniquement en Angleterre, précise le journal qui a dévoilé l’information.

 

Aussi dangereux que la cigarette ou l’arsenic

 

Contrairement au glyphosate (composé principal du Roundup de Monsanto) classé « probablement cancérogène » par l’OMS en mars 2015, la viande transformée se place en tête du classement des produits cancérigènes. Soit le niveau 5 : cancérogène certain. Ainsi, bacon, hamburgers et saucisses, pour ne citer qu’eux, sont enfin considérés comme une menace à long terme avérée pour l’organisme au même titre que la cigarette, l’arsenic où l’amiante. Ceci fait suite à des dizaines d’études scientifiques démontrant des liens entre ces produits et certains cancers. Les chercheurs ont notamment établi des évidences fortes entre la consommation de ces viandes et le cancer du côlon (deuxième cause de mortalité par cancer en Grande-Bretagne), en précisant que 50% des cas pourraient être évités avec un mode de vie plus sain.

 

En pratique, les viandes dites transformées le sont par différentes techniques où interviennent une large gamme de produits chimiques. Ainsi, la liste des produits incriminés risque d’être longue dans un monde où l’essentiel de l’alimentation est industrialisée. On parle ici des jambons industriels, du bacon, du salami, des hot-dogs, des saucisses et, naturellement, des hamburgers. Mais les scientifiques ne s’arrêtent pas là. La viande rouge serait également susceptible de rejoindre officiellement l’encyclopédie des substances cancérogènes, avec un classement cependant inférieur aux produits transformés. À savoir que la viande rouge est déjà reconnue cancérigène par le World Cancer Research Fund International. On ne parle donc que de son entrée « officielle » dans le classement de l’OMS…

 

L’industrie nie une nouvelle fois l’évidence

 

La décision intervient à la suite d’une grande réunion des scientifiques de dix pays où toutes les preuves disponibles furent examinées. Ces recommandations de l’OMS pourraient notamment conduire à de nouvelles directives en matière de diététique ainsi qu’à une modification de l’étiquetage des produits à risque. Ce virage scientifique dans le domaine alimentaire pourrait donner de la crédibilité aux régimes alimentaires légers en viande voire totalement dépourvus.

 

Mais au-delà de la santé, c’est tout un secteur industriel qui risque d’être chamboulé si les consommateurs prennent l’information à cœur. Le principal lobby américain de la viande (North American Meat Institute) a vivement réagi en estimant que le rapport de l’OMS défiait le sens commun et que d’autres études ne montraient aucun lien entre cancer et viande. Une réaction similaire à Monsanto quelques mois plus tôt quand son Roundup était pointé du doigt par le même organisme. Le Centre International de Recherche sur le Cancer recommande, quant à lui, de faire définitivement une croix sur la consommation de viandes transformées, précise le Dailymail – rejoignant de nombreux organismes scientifiques, dont l’École de Santé Publique de Harvard, l’une des références internationales sur la nutrition. Il conviendra à chacun de faire ses proches choix.

 

Partager cet article

20 minutes avec Pierre Rabhi

Publié le par Notre Terre

20 minutes avec Pierre Rabhi

Interview de Pierre Rabhi sur BFMTV, tout est résumé en 20 minutes.

 

http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/pierre-rabhi-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-662721.html

 

 

 

Partager cet article

Les bateaux de croisière vont être de plus en plus écolos

Publié le par Notre Terre

Les bateaux de croisière vont être de plus en plus écolos

 

 

Les navires de croisière sont aussi de véritables laboratoires en matière d’économies d’énergie et de réduction des émissions polluantes.  

 

Alors que Paris s’apprête à accueillir la COP 21, les enjeux environnementaux, cruciaux pour l’avenir de la planète et de l’humanité, prennent une importance croissante dans l’opinion publique. Qu’il s’agisse de son foyer et de la ville où l’on habite, de ce que l’on consomme au quotidien, des moyens de transport que l’on emprunte… Les citoyens sont de plus en plus attentifs à la protection de la planète. Et c’est aussi valable pour les vacances.

 

La croisière est, depuis longtemps, pionnière en matière de développement durable. Véritables villes flottantes, capables d’accueillir des milliers de personnes, les paquebots ne rejettent rien à la mer. Tous étant équipés de systèmes de retraitement des eaux usées, alors que les déchets sont débarqués dans les ports et, pour ceux qui peuvent l’être, recyclés après être passés à bord par le tri sélectif, l’incinération et le compactage.

 

Cap sur les économies d’énergie

 

Les navires de croisière sont également de véritables laboratoires en matière d’économies d’énergie et de réduction des émissions polluantes. Les compagnies travaillent en étroite collaboration avec les chantiers et architectes navals, ainsi que les motoristes et autres équipementiers, pour réduire au maximum l’empreinte environnementale des navires. Grâce à des carènes pénétrant mieux dans l’eau, des hélices optimisées, l’emploi de nouveaux matériaux et les avancées technologiques obtenues sur la propulsion, la consommation en carburant a été significativement réduite en quelques années.

 

Et les dispositifs de récupération de chaleur comme le recours à différentes innovations, à l’image des éclairages à très faible consommation de type LED, permettent d’accentuer encore ces résultats de manière spectaculaire. A titre d’exemple, le plus gros paquebot du monde, actuellement en construction à Saint-Nazaire et qui naviguera en 2016, consommera 25% de carburant en moins par rapport à ses deux aînés, mis en service sept ans plus tôt.

 

Une réduction significative des émissions polluantes

 

De cette manière, les rejets de CO2, d’oxydes de soufre (SOx), d’oxydes d’azote (NOx) et de particules fines sont réduits d’autant. Mais la technologie permet d’aller encore plus loin. Ainsi, grâce à la mise en place progressive de systèmes de lavage des fumées, dits "scrubbers", une solution a été trouvée pour en finir avec les SOx. La prochaine étape sera la quasi-élimination des NOx et des particules fines, ainsi qu’une nouvelle baisse significative des émissions de CO2, grâce à l’emploi de propulsion fonctionnant au gaz naturel liquéfié. Remplaçant le fuel lourd et le diesel pour alimenter les moteurs, le GNL va constituer, dans la croisière, une avancée majeure en faveur de l’environnement.

 

C’est le groupe Costa Croisières qui sera le premier à mettre en œuvre ce type de propulsion, qui équipera ses nouveaux paquebots géants de la classe Excellence, dont la mise en service est prévue à partir de 2019.

 

Des efforts au quotidien

 

En attendant, la compagnie poursuit au quotidien ses efforts pour faire en sorte que ses navires soient écologiquement plus vertueux. L’an dernier, par exemple, 400 000 anciennes ampoules ont été remplacées sur ses navires par des LED, avec des besoins en électricité inférieurs de 80%. Le dernier rapport environnemental de Costa laisse apparaitre qu’en 2014, l’entreprise a réduit son bilan énergétique global de près de 10% et sa consommation en carburant de 9% par passager et par jour. Dans le même temps, la consommation d’eau a baissé de 1,36%, près de 70% de l’eau utilisée sur les navires étant désormais produite à bord grâce à des systèmes de désalinisation.

 

Chaque passager peut contribuer
 
Les efforts sont donc payants, et ils peuvent être amplifiés par l’action de chaque passager, que les compagnies veulent sensibiliser. Eteindre les lumières en quittant sa cabine, fermer la porte-fenêtre de son balcon pour éviter un surcroît de climatisation, éviter d’envoyer les serviettes à la laverie si elles peuvent encore être utilisées… Grâce à de petits gestes quotidiens, chaque vacancier peut agir directement et, ainsi, contribuer à limiter son empreinte environnementale.
 
Partager cet article

Zoom sur les légumes perpétuels

Publié le par Notre Terre

Les légumes perpétuels

Economiques et sans histoires, les légumes perpétuels cumulent les avantages des plantes vivaces. Ils restent en place d'une année sur l'autre au potager et assurent des récoltes régulières avec un minimum de soins. Découvrez comment les cultiver, et donnez-leur la place qu'ils méritent !

 

Des légumes qui durent

Le céleri perpétuelLes légumes dits « perpétuels » restent en place dans le potager durant plusieurs années, sans que le jardinier n'ait à intervenir (ou presque !). Pas la peine, donc, d'acheter des plants ou des semences chaque année : voilà une économie qui ne peut laisser le jardinier indifférent (lire aussi : Jardiner sans se ruiner) ! Il existe deux sortes de légumes perpétuels :

  • Les plantes vivaces et rustiques, dont le cycle de vie s'étale sur plusieurs années, supportant les rigueurs hivernales comme les chaleurs et sécheresses estivales.
  • Les plantes qui se multiplient par leurs bulbes, tubercules ou semis spontanés.

Selon les légumes cultivés, le pied produit pendant 5 à 10 ans. Beaucoup de légumes perpétuels sont proches des espèces sauvages ; rustiques, ils résistent bien aux maladies et aux parasites. Mais attention : certains sont tellement peu exigeants qu'une fois installés, ils ont tendance à proliférer un peu trop dans le jardin. Le cas du topinambour est classique mais il y en a d'autres : raifort, livèche, ail des ours...

 

Une culture simplifiée

ArtichautLes légumes perpétuels sont des plantes relativement simples à cultiver. A condition de soigner leur plantation, et une fois leur reprise assurée, ces légumes assurent des récoltes généreuses chaque année sans intervention importante de la part du jardinier. Tous les travaux de préparation du sol, de semis, de plantation, de repiquage... que le jardinier est habitué à répéter inlassablement pour les autres légumes sont ici obsolètes.

 

Mais attention, les légumes perpétuels ne sont pas des plantes magiques. Leur culture est facile mais il ne faut pas négliger leurs besoins. Chaque espèce nécessite des conditions de culture adaptées : certaines apprécient par exemple plutôt les sols lourds et humides tandis que d'autres préfèrent les terrains pauvres et secs. Renseignez-vous donc au préalable. Les éventuels amendements, arrosages, tailles ou paillages seront ensuite adaptés au cas par cas. 

Oignon rocambole

Les légumes perpétuels vont rester implantés longtemps au même endroit dans votre jardin. Pour cette raison, deux éléments sont à prendre en compte lors de leur installation :

 

  • Tout d'abord, il faut bien réfléchir à leur emplacement. Si vous les installez dans le potager, au milieu des autres légumes, cela peut compliquer non seulement le travail de préparation du sol réalisé chaque printemps, mais également la mise en place de la rotation des légumes (les ocas du Pérou ne supportent pas l'ombre des plantes alentours, la ciboule fait du tort au légumineuses...). Il est donc recommandé de les regrouper dans un coin du potager pour constituer un « jardin perpétuel ».
  • Il est nécessaire ensuite de soigner la mise en place pour que le légume fasse son bonhomme de chemin tout seul. Comme le travail de la terre ne se fera qu'une seule fois, aérez et ameublissez le sol en profondeur, pour que les plantes puissent bien s'enraciner. Si nécessaire, apportez du compost. Par la suite, un paillage combiné à un compost de surface apportera de quoi nourrir sol et plantes au fil du temps.

Pour finir, laissez-leur suffisamment de place pour se développer, et organisez votre jardin en prenant en compte leur développement adulte. Au bout de quelques années, les pieds de la plupart des vivaces s'épuisent. Pensez donc à les diviser pour les renouveler.

 

Qui sont-ils ?

 

Pour beaucoup, les légumes perpétuels sont des légumes oubliés, originaux, aux saveurs étonnantes. Voici une liste comprenant les plus rustiques (une vivace peut se comporter en annuelle lorsqu'elle n'est pas cultivée sous un climat qui lui est propice).

 

Les vivaces

 

  • Chou DaubentonLe céleri perpétuel – Livèche
    C'est une plante condimentaire dont les feuilles ont la saveur du céleri. Elles disparaissent durant l'hiver. Les feuilles les plus jeunes sont les plus douces. La livèche peut rester en place de nombreuses années.
  • Le chou perpétuel de Daubenton
    Ce chou ne fait pas de pomme. Ses feuilles sont cueillies toute l'année (hors période estivale). Plus vous récoltez les jeunes pousses, plus le pied devient productif. Il peut rester en place 5 à 7 ans. Attention : le chou perpétuel peut parfois être malmené lors des hivers rigoureux.
  • L’oignon rocambole
    On en consomme les bulbilles aériens récoltés durant l'été. Ils se conservent tout l'hiver, comme les bulbes des oignons classiques. L’oignon rocambole peut rester en place 4 à 5 ans. Pour le multiplier, plantez (ou laissez tomber au sol) les bulbilles ou divisez la touffe. À tester également : l'ail rocambole, qui se cultive de la même façon. Bonus : l'ail et l'oignon rocambole sont aussi de très belles plantes.
  • L’oseille
    Au fur et à mesure que les feuilles sont récoltées, de nouvelles poussent. Il est donc recommandé d'en cueillir régulièrement, même si vous n'en avez pas besoin. Le feuillage disparaît lorsque les températures deviennent trop froides, sauf si vous protégez la plante d'un châssis. Divisez le pied au bout de 4 ans pour qu'il ne s'épuise pas. À tester également : l'oseille-épinard (épinard perpétuel), moins acide, qui se cultive de la même façon.
  • Chénopode Bon-HenriLe poireau perpétuel
    Ce sont uniquement les feuilles que l'on récolte sur le poireau perpétuel. Elles sont essentiellement utilisées comme herbes aromatiques. Le poireau perpétuel peut rester en place de nombreuses années. Lorsque la touffe devient très dense, multipliez-le en le divisant et en replantant les bulbilles.
  • La rhubarbe
    Très ornementale, la rhubarbe est une habituée des jardins. Les pétioles sont coupés de mai à juin, puis au début de l'automne. La rhubarbe peut rester en place plus de 10 ans : veillez à supprimer les hampes florales dès leur apparition. 

Et aussi : l'ail des ours, l'artichaut, le chénopode Bon-Henri, la ciboule de Saint-Jacques (échalote perpétuelle), la plante-huître, le basilic perpétuel...

 

Tubercules

 

Capucine tubéreuseCes légumes ne sont pas perpétuels à proprement parler puisque c'est la racine (tubercule) qui est consommée. Mais ils se multiplient tout seul, en oubliant, par-ci par-là, quelques tubercules lors de la récolte.

Connaissez-vous la capucine tubéreuse ? Elle se cultive et se consomme comme la pommes de terre. Son tubercule est considéré comme l'un des plus fins du potager. Le feuillage volubile a besoin d'être tuteuré, de même qu'il est nécessaire de butter les plants lorsqu'ils atteignent 15 cm de haut. Bonus : les fleurs sont très décoratives.

 

 

Annuelles et bisannuelles

 

AmarantheCertaines annuelles ou bisannuelles se ressèment toutes seules, très facilement et peuvent donc être considérées comme des légumes perpétuels. C'est le cas de l'amarante, l'arroche, la bette, la claytone de Cuba et la tétragone cornue dont on consomme les feuilles et/ou les tiges.

 

Source : gerbeaud.com

 

Partager cet article

Un jeune ingénieur présente sa « douche infinie » écologique

Publié le par Notre Terre

Un jeune ingénieur présente sa « douche infinie » écologique

 

 

Que vous y restiez une minute ou une heure, cette douche révolutionnaire consommera la même quantité d’eau et pas une goutte de plus. Une création extraordinaire qu’on doit à un jeune finlandais qui teste en ce moment son idée en France, dans le cadre de la COP 21. Histoire d’une idée simple qui change le monde.

 

Les occidentaux nagent dans son apparente abondance, mais à l’échelle du monde, l’eau est une ressource rare et son manque est déjà à l’origine de violences dans certaines régions. Alors que nous gaspillons plus de 60 litres d’eau par douche, cette invention incroyablement simple pourrait remettre les pendules à l’heure et nous éviter un gaspillage colossal ici comme partout ailleurs.

 

Jason Selvarajan, un ingénieur finlandais de 29 ans, y songe depuis qu’il est adolescent. Dix ans plus tard, diplôme en poche, il crée une douche capable de récupérer l’eau en temps réel pour éviter son gaspillage. C’est dans son garage que l’écologiste a monté son premier prototype, avec les moyens du bord. « Certes, des tests supplémentaires sont encore nécessaires. » explique-t-il. « Mais jusqu’à présent tous ceux menés, même avec l’utilisation de savons, ont donné des résultats largement satisfaisants en matière de pureté de l’eau. »

 

En Août de cette année, le jeune homme présentait son prototype dans le cadre de l’aventure POC21. Le proof of concept 21, en référence à la conférence sur le climat COP21 qui se tiendra à Paris en décembre prochain, fut organisé par les collectifs Ouishare et Openstate dans une optique de promouvoir des solutions « libres » et résilientes en matière de transition écologique. Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette douche atteint l’objectif fixé. Son prototype de douche infinie a fait, sans surprise, l’unanimité aux côtés de 11 autres projets.

 

La ShowerLoop, comme son nom l’indique, crée un cycle sans fin, récupérant l’eau du bac de douche qui sera réinjectée dans le circuit pendant toute la durée de la séance. Les maniaques de la propreté peuvent se rassurer, l’eau est tout aussi propre du premier au dernier passage. Ce, grâce à une filtration en temps réel. Pas moins de 5 filtres sont nécessaires pour rendre l’eau entièrement propre, dont du sable, du charbon actif et une lampe UV. En fin de douche, il suffit d’évacuer les eaux usées normalement. Les filtres sont à remplacer une fois par an, pas plus.

 

En pratique, 10 litres d’eau suffisent pour activer le cycle, soit jusqu’à 90% d’économie sur une douche traditionnelle. Par ailleurs, l’énergie nécessaire pour chauffer l’eau est en partie conservée par le système, ce qui, de-facto, réduit la facture énergétique de 70% selon l’inventeur. Enfin, les filtres offriraient une eau encore plus propre qu’à sa première sortie des canalisations. Toutes saletés, germes éventuels et présence chlore sont éliminés dès le premier passage.

 

Si de pareils systèmes existent déjà ailleurs sous formes de prototypes, l’invention de Jason Selvarajan est disponible en Open Source (libre partage) pour le plus grand bonheur de l’humanité (et surtout des bricoleurs). Néanmoins, nombre de consommateurs restent frileux à l’idée d’investir dans une douche sans fin. Pourquoi ? La réponse est peut-être dans les mentalités des consommateurs plus que dans la technique elle-même. Peut-être faudra-t-il attendre que l’eau de ville (potable, rappelons-le) soit si onéreuse que ce type de procédé devienne une obligation économique.

Partager cet article

1 2 > >>